Mehdi

Salmi

Né au Maroc dans les années 80, Mehdi poursuit ses études des cinémas à Paris au sein de l’EICAR (Ecole Internationale de Création Audiovisuelle et de Réalisation) où il commence par un BTS en gestion de production avant de se diriger vers un cursus en réalisation cinématographique et audiovisuelle. En 2006, il entreprend de revenir s’installer définitivement au Maroc afin d’y tenter sa chance.Il passe d’abord par la case assistanat de réalisation avant de réaliser « Cicatrices » en 2009. Après des passages dans plusieurs festivals, le film obtient un franc succès aussi bien auprès du public marocain qu’à l’international. Ce qui lui valut quatre grands prix le dernier étant le grand prix d’or de création au festival international du cinéma et de la télévision du Liban en avril 2011. En 2014, Il fonde une petite société de production qu’il appelle Fade In, et se lance corps et âme dans la préparation de son premier long-métrage. Au gré de ses films, Mehdi tient à exprimer, son aversion contre les injustices, son engagement contre l’hypocrisie sociale et son combat contre les travers voire les conséquences de nos sociétés contemporaines.

Mehdi

Salmi

Né au Maroc dans les années 80, Mehdi poursuit ses études des cinémas à Paris au sein de l’EICAR (Ecole Internationale de Création Audiovisuelle et de Réalisation) où il commence par un BTS en gestion de production avant de se diriger vers un cursus en réalisation cinématographique et audiovisuelle. En 2006, il entreprend de revenir s’installer définitivement au Maroc afin d’y tenter sa chance.Il passe d’abord par la case assistanat de réalisation avant de réaliser « Cicatrices » en 2009. Après des passages dans plusieurs festivals, le film obtient un franc succès aussi bien auprès du public marocain qu’à l’international. Ce qui lui valut quatre grands prix le dernier étant le grand prix d’or de création au festival international du cinéma et de la télévision du Liban en avril 2011. En 2014, Il fonde une petite société de production qu’il appelle Fade In, et se lance corps et âme dans la préparation de son premier long-métrage. Au gré de ses films, Mehdi tient à exprimer, son aversion contre les injustices, son engagement contre l’hypocrisie sociale et son combat contre les travers voire les conséquences de nos sociétés contemporaines.

Quelque part entre le rose et le bleu

Le film retrace trois périodes cruciales – jeune adolescence (12-13ans), mi-adolescence (16-17ans) et jeune adulte (sept années plus tard) – de la vie de Shams-Eddine, jeune marocain(e), hermaphrodite, à la recherche de son identité, en quête d’amour et surtout, d’amitié. Déclaré(e) et élevé(e) comme un garçon, son univers bascule lorsqu’il (elle) prend conscience avec effroi, qu’il (elle) n’est ni femme, ni homme, mais les deux à la fois. Déchiré(e) entre sa jeunesse et son désir d’exploration de soi, il (elle) est confronté(e) à des événements qui le(a) forceront à remettre en question ses idées préconçues sur la masculinité, la féminité, la sexualité, la famille et l’amour.

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