Ludivine

Saës

Ludivine Saës aborde le cinéma par le montage. Cette troisième écriture la mène au Danemark aux côtés de Thomas Vinterberg et Per Fly.De retour en France elle découvre l’univers sériel qui complète son rapport à la fiction. Au fil des montages, l’envie d’approcher la narration par le scénario se fait sentir. Elle passe par le CEEA (Conservatoire européen d’écriture audiovisuelle), devient lectrice (Arte, CNC) et se plonge en parallèle dans l’écriture.En 2018, elle intègre emergence, pour co-développer avec Marguerite Didierjean, la série digitale Toute la misère du monde. Et bénéficie de LA SÉLECTION Talents 2018 de la Fondation GAN pour le développement de Dis-leur que je reste, son premier long-métrage.

Ludivine

Saës

Ludivine Saës aborde le cinéma par le montage. Cette troisième écriture la mène au Danemark aux côtés de Thomas Vinterberg et Per Fly.De retour en France elle découvre l’univers sériel qui complète son rapport à la fiction. Au fil des montages, l’envie d’approcher la narration par le scénario se fait sentir. Elle passe par le CEEA (Conservatoire européen d’écriture audiovisuelle), devient lectrice (Arte, CNC) et se plonge en parallèle dans l’écriture.En 2018, elle intègre emergence, pour co-développer avec Marguerite Didierjean, la série digitale Toute la misère du monde. Et bénéficie de LA SÉLECTION Talents 2018 de la Fondation GAN pour le développement de Dis-leur que je reste, son premier long-métrage.

Dis-leur que je reste

Pharmacienne d’une province algérienne, Suzanne ne prend pas la mesure de ce que sa communauté pied-noire nomme encore les ‘évènements‘.Mais affrontant un quotidien chaque jour bouleversé par un entourage algérien qui recouvre sa liberté, Suzanne décide de collaborer avec chaque camp pour ne pas quitter sa terre natale. N’hésitant pas à désavouer ses plus profondes convictions.

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