Hugo

Bousquet

Né en 1982 en France, dans l’Aveyron. Il a d’abord étudié aux Beaux-Arts de Toulouse puis d’Angoulême. Il suit également pendant ces années un cursus en musique électroacoustique au conservatoire d’Angoulême. Les expérimentations plastiques dans le son, la vidéo et un questionnement sur le paysage l’amènent à envisager des études de cinéma. Il entre à l’Institut des Arts de Diffusion de Louvain-la-neuve en Belgique, où il réalise le court-métrage Tangente, son film de fin d’études. Parallèlement, il travaille l’été en Suisse comme aide-gardien de refuge de haute-montagne et en alpage pour la fabrication du fromage d’Etivaz. De ces expériences naîtra Outre Ici, son premier long-métrage, puis l’envie d’adapter La Grande Peur dans la montagne, roman de C.F. Ramuz. Depuis 2015, il vit à Marseille où il travaille comme intervenant d’éducation à l’image et au cinéma, en milieu scolaire ou pour des institutions culturelles telles que la Cinémathèque Française ou le Mucem.

Hugo

Bousquet

Né en 1982 en France, dans l’Aveyron. Il a d’abord étudié aux Beaux-Arts de Toulouse puis d’Angoulême. Il suit également pendant ces années un cursus en musique électroacoustique au conservatoire d’Angoulême. Les expérimentations plastiques dans le son, la vidéo et un questionnement sur le paysage l’amènent à envisager des études de cinéma. Il entre à l’Institut des Arts de Diffusion de Louvain-la-neuve en Belgique, où il réalise le court-métrage Tangente, son film de fin d’études. Parallèlement, il travaille l’été en Suisse comme aide-gardien de refuge de haute-montagne et en alpage pour la fabrication du fromage d’Etivaz. De ces expériences naîtra Outre Ici, son premier long-métrage, puis l’envie d’adapter La Grande Peur dans la montagne, roman de C.F. Ramuz. Depuis 2015, il vit à Marseille où il travaille comme intervenant d’éducation à l’image et au cinéma, en milieu scolaire ou pour des institutions culturelles telles que la Cinémathèque Française ou le Mucem.

La Grande Peur dans la montagne

Les récoltes ont été mauvaises et on s’apprête à rouvrir l’alpage de Sasseneire malgré les superstitions. personne ne veut monter là-haut, sous l’inquiétant glacier. Quelques hommes se présentent finalement. Mais très vite, la maladie affecte le bétail et c’est la mise en quarantaine. La violence de la nature et la peur des hommes entraîneront la destruction de la communauté.

Découvrir