Journaliste et romancier, Anis Djaad est né et a grandi à Alger. Il réalise trois courts, Le hublot, Passage à niveau et Le voyage de Keltoum, avec lesquels il participa à plus d’une centaine de festivals internationaux. Son premier long-métrage, La vie d’après, est attendu fin 2021. En plus de Terre de vengeance, il développe actuellement d’autres projets cinématographiques.

Un matin de printemps, une folle rumeur court dans le village au sujet de Hadjer, une veuve qui vit avec son fils, Djamil, un adolescent irréprochable. Jetés en pâture, ils sont forcés à partir. Après quelques jours d’errance, ils échouent sur la côte, chez un bienfaiteur patron de gargote. Leur « exil » vers ce monde nouveau ne sera pas de tout repos. Entre les dérives du fils et les concessions de la mère, le chemin vers la reconstruction semble interminable. Un retour vers le village natal est-il encore envisageable ? Décidément, il n’y a qu’un drame pour effacer un autre…

Née à Bruxelles en Belgique et de nationalité italienne, Emanuela Ponzano est auteure, réalisatrice et actrice de cinéma et de théâtre. Elle vit et travaille entre Rome, Bruxelles et Paris. Diplômée en Sciences politiques à l’ULB en 1995 et en Art dramatique au Conservatoire nationale de Liège en Belgique en 2000, elle réalise en 2008 ses deux premiers courts-métrages Bagnasciuga (expérimental N&B 3min) et Riflessi -Reflets (couleur 20′). En 2016, elle réalise le court-métrage de fiction La Slitta- La luge (couleur 19′), sélectionné aux Rubans d’argent 2016 en Italie et dans plus de 110 festivals internationaux avec plus de 40 prix remportés et se qualifie comme candidature à l’Oscar 2018.En 2020 elle réalise le court-métrage Une Nouvelle Perspective (couleur 18′ Italie/France) en Première Mondiale au 38TFF Torino Film Festival. Aujourd’hui, elle prépare le scénario de son premier long-métrage et une série black comedy en Belgique.

Anna, une jeune étudiante en cinéma napolitaine, fille d’un repenti qui est en prison et d’un témoin de la justice, se perd un soir d’été lors d’une rave party. De peur d’être poursuivie par les ennemis de son père, qu’elle croit reconnaître parmi la foule, elle se cache dans un campement inhabituel d’acrobates nomades qui élèvent des chevaux. Avec l’idée de ne pas rentrer chez elle par peur d’être tuée, Anna décide de rester avec ses « nouveaux amis » et de les suivre en France pour la célèbre fête nomade de Camargue aux Saintes-Maries-de-la-Mer, entamant un voyage aventureux et dangereux à la recherche de sa véritable identité. Après la méfiance initiale, les Tsiganes sont devenus une famille pour Anna. En allant de ville en ville avec les spectacles de cirque, Anna trouve l’amour, et découvre une nouvelle idée du cinéma, en filmant la vie du camp et des spectacles, à tel point que les enfants du camp décident de la rebaptiser Elvira, en l’honneur de la première réalisatrice italienne Elvira Notari.

Michela Straniero est née à Rome le 12 janvier 1990. Après son enseignement primaire, elle a fréquenté le lycée classique Virgilio où elle a obtenu son diplôme en 2009. A partir de 2009-2010, elle a étudié à la Faculté des Lettres et de Philosophie à l’Université La Sapienza de Rome, où elle a obtenu son diplôme en littérature classique en décembre 2013. La même année, elle a été admise à la formation de trois ans en écriture de scénario, au Centro Sperimentale di Cinematografia à Rome, où elle a obtenu son diplôme en décembre 2015. Depuis lors, elle travaille comme scénariste pour le cinéma et la télévision. En 2017, elle remporte le prix Franco Solinas pour le « Meilleur sujet » avec le film Lo e il Secco.

Anna, une jeune étudiante en cinéma napolitaine, fille d’un repenti qui est en prison et d’un témoin de la justice, se perd un soir d’été lors d’une rave party. De peur d’être poursuivie par les ennemis de son père, qu’elle croit reconnaître parmi la foule, elle se cache dans un campement inhabituel d’acrobates nomades qui élèvent des chevaux. Avec l’idée de ne pas rentrer chez elle par peur d’être tuée, Anna décide de rester avec ses « nouveaux amis » et de les suivre en France pour la célèbre fête nomade de Camargue aux Saintes-Maries-de-la-Mer, entamant un voyage aventureux et dangereux à la recherche de sa véritable identité.Après la méfiance initiale, les Tsiganes sont devenus une famille pour Anna. En allant de ville en ville avec les spectacles de cirque, Anna trouve l’amour, et découvre une nouvelle idée du cinéma, en filmant la vie du camp et des spectacles, à tel point que les enfants du camp décident de la rebaptiser Elvira, en l’honneur de la première réalisatrice italienne Elvira Notari

Né à Beyrouth en 1991, Mark Karam a obtenu en 2013 une licence en cinéma à l’Université Saint-Esprit de Kaslik – USEK. Mark a réalisé 4 courts-métrages sélectionnés dans divers festivals internationaux et a travaillé comme rédacteur numérique et producteur d’agence chez Mirum, JWT, vidéaste dans le secteur humanitaire et actuellement il est Social Media and Promo manager chez Warner Music Middle East.MiaKhara est le premier long-métrage écrit par Naim Asmar et Mark Karam et sera réalisé par Mark Karam en 2022.Filmographie :May God Forbid – 2012 (Film muet)Habibi -2013 (Senior Film)Sélection Officielle Arab Camera Festival – Rotterdam 2013 Sélection Officielle 20ème Festival du Film Européen du FilmAnna – 2014 (Film pour le concert du Cénacle de la Lumiere)Iish – 2014 (Dans le cadre du concours du film 48 heures) A different kind of tourism.

Tout le monde croit que sa famille est la plus folle, mais cela risque de changer, surtout lorsque Mark décide de réaliser un documentaire sur sa mère et ses tantes : Lena, Yolla, Beba et Voulla. Tous les événements de ce film seront vus à travers la caméra de Mark, qui tente de révéler leurs secrets. Ils sont assez à l’aise pour discuter des parties les plus intimes de leur corps tout en gardant leurs croyances religieuses à l’esprit. Il est vrai que les Andriottys ne sont pas une famille ordinaire, mais l’une de ses tantes porte la compétition à un tout autre niveau. Ainsi, ce qui semble être une tâche très facile et excessivement accomplie va en fait devenir incontrôlable. Surtout quand elles essaient de retenir Yolla et de cacher son profond et sombre secret.Mais tous leurs efforts échouent lorsqu’elle annonce son retour en tant que La Divina Maria Callas. Yolla croit être la réincarnation de Callas.

Né à Beyrouth en 1984. Naim Al-Asmar a obtenu son diplôme d’architecte en 2007, à l’Institut National des Beaux-Arts de l’Université Libanaise.Il a lancé Permaculture Design en 2013 (système de design éthique pour une vie humaine consciente).Dès 1990, Naim commence une formation musicale précoce, et apprend le piano pendant 7 ans, puis la trompette pendant 3 ans, le oud (luth) pendant 6 ans, au Conservatoire National. Il poursuit ensuite des études en Musicologie à l’université Antonine. En 2000, Naim a commencé sa carrière musicale, en se produisant principalement sur scène. Chanteur autodidacte, il a co-fondé un certain nombre de groupes interprétant divers genres lyriques du répertoire du Moyen-Orient, de la tradition de la renaissance levantine du 19ème siècle et de la musique arabe classique de l’époque de l’apartheid et la musique arabe classique du 20ème siècle, aux chants religieux syriaques, byzantins et islamiques, et le chant collectif.Plus récemment, en 2012, il commence à interpréter des compositions originales de musique arabe contemporaine, s’aventurant davantage dans le théâtre musical, parallèlement à l’exploration de l’opéra, de la tradition du Belcanto et d’autres genres lyriques, à la recherche de nouvelles voies d’interprétation, et de plus d’expression dans la Musique.Dès 2019, Naim co-écrit avec Mark Karam leur premier long-métrage de fiction Miakhara.

Tout le monde croit que sa famille est la plus folle, mais cela risque de changer, surtout lorsque Mark décide de réaliser un documentaire sur sa mère et ses tantes : Lena, Yolla, Beba et Voulla. Tous les événements de ce film seront vus à travers la caméra de Mark, qui tente de révéler leurs secrets. Ils sont assez à l’aise pour discuter des parties les plus intimes de leur corps tout en gardant leurs croyances religieuses à l’esprit. Il est vrai que les Andriottys ne sont pas une famille ordinaire, mais l’une de ses tantes porte la compétition à un tout autre niveau. Ainsi, ce qui semble être une tâche très facile et excessivement accomplie va en fait devenir incontrôlable. Surtout quand elles essaient de retenir Yolla et de cacher son profond et sombre secret.Mais tous leurs efforts échouent lorsqu’elle annonce son retour en tant que La Divina Maria Callas. Yolla croit être la réincarnation de Callas.

Wadii Charrad est né le 9 janvier 1982 à Casablanca au Maroc. Après son diplôme en communication/Audiovisuel à Com’sup à Casablanca, il part terminer ses études en Belgique à L’Ecole des Arts de la ville de Liège puis à Bruxelles en Belgique dans le département vidéo/cinéma. Il a réalisé plusieurs reportages vidéos au Maroc pour des médias sur le web et a été également journaliste dans plusieurs supports de la presse écrite. En tant que réalisateur de fiction, il a à son actif quatre courts-métrages et un documentaire ainsi qu’un clip musical.

Mohamed et Keltoum forment un couple de casablancais modernes qui mènent une carrière professionnelle réussie et une vie amoureuse épanouie. Ensemble, ils ont décidé de ne pas avoir d’enfants. Selon eux, l’humanité peut se passer de leur progéniture. Le contexte difficile de la société marocaine contemporaine, l’absence de perspectives et le système éducatif national les découragent fortement. Une nuit, alors qu’ils séjournaient chez des amis dans une station de montagne, ils sont obligés de rentrer d’urgence pour prendre la pilule contraceptive oubliée. Sur le chemin du retour, un incident imprévisible met sur leur chemin un enfant perdu. Bien que l’enfant a fini par retrouver sa famille, Keltoum reste perplexe par cette rencontre fortuite et un malaise profond grandit dans le couple suite à cela.Après une visite ordinaire chez le médecin, Keltoum découvre que son état de santé compromet ses chances d’être enceinte. Cette révélation éveille son instinct maternel, perturbant profondément ses anciens systèmes de croyances.Malgré les faibles probabilités, le couple reprend sa routine et tente de surmonter la crise. Mais après avoir négligé la contraception, Keltoum découvre qu’elle est enceinte et décide de garder le bébé, forçant Mohamed à un dilemme.

Né en 1984 en Tunisie, Mehdi Barsaoui a été « biberonné au cinéma » par sa famille. Un père réalisateur, un beau-père producteur, un cousin vidéaste : comme une évidence, Mehdi Barsaoui s’inscrit à l’école de cinéma de Tunis après avoir passé le bac. Son cycle d’étude terminé, il s’envole pour l’Italie afin de parfaire sa formation au sein du DAMS de Bologne.

De retour en Tunisie, il travaille comme monteur avant de se lancer, à la fin des années 2000, dans le tournage de courts-métrages. Au fil de la décennie suivante, il en tourne trois, ainsi que deux documentaires. Mehdi Barsaoui dévoile son premier long-métrage en 2019, Un Fils.

A l'été 2011, Fares et Meriem partent avec leur fils Aziz, âgé d'une dizaine d'années, pour un week-end à Tataouine, dans le sud de la Tunisie. Sur le chemin du retour, ils se retrouvent pris dans une embuscade terroriste, et une balle perdue blesse grièvement le garçon. Touché à l'abdomen, Aziz arrive à l'hôpital dans un état critique, et seule une greffe de foie pourrait le sauver. Fares et Meriem se retrouvent embarqués dans une véritable course contre la montre pour préserver la vie de leur enfant.

Né en 1982 en France, dans l’Aveyron. Il a d’abord étudié aux Beaux-Arts de Toulouse puis d’Angoulême. Il suit également pendant ces années un cursus en musique électroacoustique au conservatoire d’Angoulême. Les expérimentations plastiques dans le son, la vidéo et un questionnement sur le paysage l’amènent à envisager des études de cinéma. Il entre à l’Institut des Arts de Diffusion de Louvain-la-neuve en Belgique, où il réalise le court-métrage Tangente, son film de fin d’études. Parallèlement, il travaille l’été en Suisse comme aide-gardien de refuge de haute-montagne et en alpage pour la fabrication du fromage d’Etivaz. De ces expériences naîtra Outre Ici, son premier long-métrage, puis l’envie d’adapter La Grande Peur dans la montagne, roman de C.F. Ramuz. Depuis 2015, il vit à Marseille où il travaille comme intervenant d’éducation à l’image et au cinéma, en milieu scolaire ou pour des institutions culturelles telles que la Cinémathèque Française ou le Mucem.

Les récoltes ont été mauvaises et on s’apprête à rouvrir l’alpage de Sasseneire malgré les superstitions. personne ne veut monter là-haut, sous l’inquiétant glacier. Quelques hommes se présentent finalement. Mais très vite, la maladie affecte le bétail et c’est la mise en quarantaine. La violence de la nature et la peur des hommes entraîneront la destruction de la communauté.

Guillaume Levil a écrit ou réalisé quelques courts et longs-métrages qui ont voyagé partout en France et à l’étranger, dont Une lettre ne s’écrit pas, long-métrage sorti en salles en avril 2014, et Le Problème du pantalon, documentaire vu sur France 3. Parmi les courts, il a réalisé Arthur Rambo et écrit Fils – lauréat du « César Luxembourgeois » – , qui ont obtenu respectivement 95 et 160 sélections en festivals.Ayant grandi entre la Provence et la Réunion, il aime tourner là où il est possible d’attraper une lumière d’inspiration, sur des terres d’histoires et de légendes. Ainsi, adepte des œuvres de Capra et de Pagnol, Guillaume Levil livre ses images à la manière du conte, non pas pour fuir la réalité mais pour la célébrer différemment.Plus précisément, ses premiers « chocs-cinéma » ont été La Femme du boulanger de Pagnol et Beethoven (le film avec le chien) : le premier parce que c’est magnifique et le second parce que Guillaume, alors en 6ème, s’est aperçu qu’il pouvait écrire plusieurs fins alternatives à ce film incroyable – et donc pourquoi pas un autre film en entier.

Un village provençal retiré. Il y a de cela 20 ans, Titi a passé une nuit d’ivresse avec la belle Caro, il n’en a jamais parlé à sa compagne qu’il aime plus que tout. Mais un jour, le spectre de sa faiblesse prend l’apparence d’une jeune femme de la ville. C’est Ninon, fille de Caro, porteuse de tensions et de secrets.

Sanja Milardović est née à Rijeka, en Croatie, le 25 septembre 1987. Elle a obtenu son diplôme d’actrice à l’Académie des beaux-arts d’Osijek en 2009. Après avoir obtenu son diplôme, elle a déménagé à Zagreb et a commencé à travailler dans le théâtre et le cinéma. Elle a joué dans plus de vingt pièces de théâtre et des dizaines de courts-métrages, de publicités, de séries télévisées et de longs-métrages.En 2014, elle a réalisé son premier court-métrage Just like that, qui a été sélectionné dans plusieurs festivals en Croatie et à l’étranger (ZFF-u 2014). Elle a été sélectionnée dans plusieurs festivals en Croatie et à l’étranger (ZFF-u 2014, UNICA -Sankt Petersburg, 2015, 20Min/Max festivalu-Ingolstadt, 2015, Kratki na brzinu Sv. Ivan Zelina 2015, Festival kratkih Kraken -Ljubljana,2015). Actuellement, son deuxième court-métrage qu’elle a écrit et réalisé, intitulé I’m not telling you anything, just sayin’, est sélectionné dans des festivals et a déjà remporté plusieurs prix – Meilleur film au Festival du film de Dardan (Tirana), Mention spéciale aux festivals Signes de nuit (Paris) et Zagreb festival du film.

GRETA (62 ans) est une actrice, une diva dont le monde s’écroule lorsqu’elle découvre que son fils MARKO (30 ans), dont elle s’est éloignée, est en phase terminale. Greta déménage de la ville au village, dans la petite maison délabrée de Marko et de sa femme ZORA (30 ans). Très vite, leurs mauvaises relations prennent le dessus et Greta est expulsée de la maison. Dans une tentative désespérée de réparer leur relation, elle revit la vie de Marko avant qu’il ne tombe malade.