Réalisateur, producteur et scénariste, Yassine Morroccu est diplômé en Technique d’audiovisuel et multimédia de l’University d’Udine. Il a réalisé deux courts-métrages, dont Gnawas et Trr !!! Issa !!! Blave Runer, pour lesquels il a été récompensé dans plusieurs festivals : Festival du film de Milan, Hollywood Spiritual Film Festival, Torino Film Festival…

Au travers du « Morning show » d’une grande radio marocaine, le public découvre l’aventure vécue par Jemal que l’animateur radio transforme en comédie pour ses auditeurs : Grandi à Essaouira, Jemal est parti aux USA après avoir gagné la loterie Green Card. Son rêve semblait se réaliser dans le désert du Nevada où il travaillait depuis deux semaines. Mais, lors d’un hold-up, il a été arrêté par le FBI. Son seul crime était sa ressemblance avec Abou Qataba, terroriste activement recherché depuis les attentats du 11 septembre. Après une année en prison, la vérité a finit par triompher, le véritable Abou Qataba a été interpellé, et Jemal a été libéré.

Diplômée de l’Université des arts de la scène et du film de Budapest, Andrea Taschler travaille dans l’industrie du film depuis 2000. Au cours d’une décennie de collaboration avec la nouvelle génération du cinéma hongrois et à la tête de la maison de production Katapult Film, elle a produit différentes pellicules de renommée internationale, des films primés comme «Avant l’aube» de Balint Kenyeres, «White Palms» et «Bibliothèque Pascal» de Szabolcs Hajdu, « Nuit » de Ferenc Török. À partir de 2004, elle a travaillé en tant que productrice indépendante sur plusieurs productions hongroises et internationales. En 2010, elle a lancé sa propre société de production basée à Budapest, Mirage Film.

Au printemps 1961, deux Italiens du Maroc s’engagent dans une mission de sauvetage d’un mystérieux navire naufragé sur les rives du Sahara Atlantique. Une série d’événementsinexplicables bloquent leur chemin vers leur gloire personnelle. L’adversité, la trahison, la déception seront leur pain quotidien. Mais le Sahara est aussi le théâtre d’une aventurehumaine qui les amène à atteindre leurs limites les plus extrêmes. Ils se confrontent avec leur propre conscience et se rendent compte amèrement que le désert reflète leur propre échec. Pourront-ils en accepter le prix réel?

Né le 26/09/78 à Annaba en Algerie. Un enfant très pressé, original et indépendant.A sa dernière année d’étude d’architecture il campera déjà son premier rôle principal au cinéma. Le même mois de juillet 2004 il présentera son diplôme d’état en architecture et l’avant première de El-manara de B. Hadjadj.Après avoir joué dans plusieurs long-métrage, Hameau de femmes M. Chouikh, Mascarade de L. Salem …En 2006 il réalisera trois courts métrages.En 2007 il crée une société de production pour produire et réaliser le court métrages SEKTOU poulain d’or au Fespaco 2009 qui révélera son ambition d’auteur et de réalisateur.Grandi de cette expérience il reviendra à la comédie dans Le repenti de M. Allouache, et L’ORANAIS de L. Salem. Il remportera respectivement deux prix d’interprétations, au festival d’Angoulême et au JCC.Il interprète le rôle titre dans le film: Larbi Benmhidi de B. Derrais en salle prochainement.A la télévision il a connu à franc succès populaire dans deux saisons de la série El Khawa ramadan 2017 et 2018. Actuellement il se concentre exclusivement au cinéma comme acteur et se projette dans la réalisation de son premier long métrage.

Khaled un homme la quarantaine s’apprête a faire son film “le mensonge qui dit vrai” sur le terrorisme des année 90 en Algérie. Khaled est en plein préparation de son tournage : repérage, casting, entretient, et interviews avec des journalistes. Khaled assiste aussi a des conférences sur la réconciliation national et les victimes du terrorisme. Fait des réunion avec ses producteurs et ses assistant pour organiser le tournage.

Réalisateur Libanais, il a étudié l’histoire, la philosophie et le cinéma à la Sorbonne tout en réalisant des courts-métrages de fiction sélectionnés dans plusieurs festivals à travers le monde.Depuis, il a co-fondé le Festival du film Libanais qui se tient chaque deux ans à Beyrouth et a été programmateur de films pour plusieurs festivals en Europe.En 2016, il réalise son premier long-métrage, One of these days, et il prépare actuellement son nouveau long-métrage, Beirut Country Club, ainsi qu’une série intitulée Faraya.Parallèlement à son activité dans le cinéma, Nadim Tabet réalise des vidéos de modes ainsi que des clips pour des groupes Libanais et Européens et il donne des conférences sur le cinéma dans plusieurs universités.

Dans un country club huppé situé en pleine banlieue Sud de Beyrouth, l’histoire d’un triangle amoureux entre Amal Tawil, une bourgeoise de 30 ans, Saïd Itani, un professeur de tennis, et Léa Farés, une adolescente de 18 ans qui n’est autre que la future belle sœur d’Amal. Tel un signe prémonitoire, la naissance de ce triangle amoureux a lieu le jour où, dans le club, on déterre les ossements de combattants palestiniens mort pendant la guerre civile. La résurgence de la violence d’autrefois contaminera les trois protagonistes qui bouleverseront chacun leurs codes moraux au fur et à mesure que ce triangle amoureux avancera. Bientôt, la seule solution pour retrouver l’équilibre devra passer par le meurtre de l’un d’entre eux.

Leonor Noivo (1976) a étudié à l’École Supérieure de Théâtre et de Cinéma (ESTC) à Lisbonne, où elle s’est spécialisée en montage et réalisation en 2004. Elle a suivi ensuite le cours de documentaire des Ateliers Varan en 2006. Elle est co-fondatrice de la maison de production TERRATREME (www.terratreme.pt), une plateforme de cinéastes créée en 2008, ou elle développe ses films et collabore aux différentes étapes de production des autres projets: scénario, tournage, montage.

LUZIA va avoir cinquante ans et vient de rencontrer Ivan, qui l’inspire et lui donne des preuves d’amour, même si sporadiques. Mais il y a le vertige d’une mort imminente, un secret, et la promesse se désagrège. Ivan disparaît – pour LUZIA c’est un gouffre, un puits sans fond. Elle s’accrochera et affrontera l’inconnu. C’est l’histoire de LUZIA et d’une expérience transformatrice qui la libèrera, la profonde métamorphose d’un être qui accepte qu’il n’y a probablement pas d’autre sortir, sauf pour les optimistes.

En 2001, tout juste diplômé en Architecture, Marc laisse son diplôme à son École d’Architecture de Marseille-Luminy pour entrer dans l’univers du Cinéma par la porte de la Décoration.Pendant cinq ans, Marc apprend « sur le terrain » toutes les étapes de la réalisation d’un film comme assistant décorateur, de la préparation à la post-production en passant par le tournage, sur des films comme « Narco » (Tristant Aurouet & Gilles Lellouche), « Je vais bien, ne t’en fais pas » (Philippe Lioret), « Ne le Dis à Personne » (Guillaume Canet) ou encore « Le Concert »(Radu Mihaileanu). En 2006, il réalise son premier court-métrage, « APPEL EN ABSENCE », avec Simon Buret (le chanteur du groupe AaRON) puis « VIEILLESSE ENNEMIE » en 2008 avec Sara Forestier et Philippe Nahon.Il consacre les années qui suivent à la photo, au montage et à l’écriture et réalise des clips pour différents artistes tels Hugh Coltman, Asaf Avidan, Louane, Raphaël, Brigitte, Hoshi, Malo’, Dani, Jacky Terrasson & Stéphane Belmondo ou Laurent Voulzy – dont 2 avec le comédien Pierre Richard (« The End of the World » de Hugh Coltman et « Mr William » du Aurore Voilqué Septet. En parallèle, Marc réaliste quelques films digitaux pour Armani et L’Oréal, avec des comédiennes comme Sarah Gadon et Eva Green.Ces expériences l’aident à construire un univers filmique original qu’il ne cesse de faire évoluer, et qu’il met en scène dans son 3ème court-métrage : « AMOR AMOR » en 2016, ainsi que le premier épisode d’une série documentaire sur des portraits de Chefs, avec Wake Up Productions : « Bistronomie : les combattants parisiens », et développe son premier long-métrage : « De peur qu’il ne se sauve » avec Nicolas Peufaillit, le co-auteur d’ « Un Prohète » de Jacques Audiard.

C’est l’histoire d’un type qui fait tout pour réaliser son rêve. C’est l’histoire d’un type qui quand son rêve devient réalité va tout faire, tout, pour le détruire.C’est l’histoire d’un homme qui a tellement besoin de l’amour d’une femme qu’il fait tout pour les faire fuir, toutes.Bref, c’est l’histoire d’un bonheur qui ne peut que se fuir, de peur qu’il ne se sauve.

Marqué très jeune par les photos d’Henri Cartier-Bresson, Josef Koudelka ou Eliott Erwitt, je me suis parfois rêvé photographe de guerre, mais en réalité, je ne me souviens pas avoir voulu faire autre chose que scénariste et réalisateur de films.Persuadé que la création n’est possible que si l’on connaît le monde qui nous entoure, j’ai commencé par des études d’ethnologie et un « exil » de trois années à Budapest, où la maîtrise de la langue hongroise m’a donné la chance de travailler sur le tournage du Cheval de Turin, le dernier film du grand réalisateur Béla Tarr. Ses méthodes de travail insolites, son exigence tant technique qu’artistique et son univers visuel proche de la photographie demeurent pour moi une expérience unique qui m’a profondément marqué.J’ai commencé ma carrière professionnelle avec le documentaire, réalisant une dizaine de films de politique et d’histoire pour la télévision et le cinéma. Pour autant, je n’ai jamais délaissé mon attirance pour la fiction, la création d’histoires et d’images. En 2013, j’ai écrit et réalisé un premier court-métrage, Ceteris Paribus, présenté dans plusieurs festivals français et internationaux. En 2018, mon second court-métrage, Vénère, une comédie-musicale Bollywood, obtient la mention spéciale du jury du festival HLM sur cour(t). Je prépare actuellement mon troisième court-métrage, Tatoués.Diversifiant les moyens d’expression, je me suis également tourné vers l’écriture de bandes-dessinées. Traitant de la Révolution russe de 1917, Kamarades est ma première série en tant que scénariste.Je prépare actuellement de nouveaux documentaires pour la télévision et le cinéma, et développe un scénario de long-métrage de fiction sur le football féminin.

Joueuse de football professionnelle à l’Olympique de Marseille, Océane est lameilleure joueuse du club. Ses efforts depuis l’enfance pour être au plus haut niveausemblent enfin payer, puisqu’elle est en passe d’être sélectionnée en équipe deFrance pour la Coupe du Monde.Mais, après une saison compliquée, les dirigeants du club recrutent Fanny, unejeune attaquante prometteuse et ambitieuse. Son arrivée au sein de l’équipe faitvaciller les certitudes d’Océane. Est-elle encore assez douée pour rester au top ?

Metteur-en-scène et réalisateur, Hani Sami est titulaire d’un B.A. en Theatre de l’université Américaine au Caire et d’un M.A. en réalisation de l’École Supérieur d’Audiovisuel à Toulouse (ESAV).Il a participé avec ses pièce de théâtre et ses cours-métrages à des nombreux festivals locaux et internationaux.Ces titres y compris:The Stronger (La corrida à Toulouse, Cannes – Short Film Corner, 2014),The Newcomer (2-B Continued au Caire, 2015),Last Tape (Luxor Festival, Cairo Video Festival, Zawya Festival, 2017),Mind the Gap (D-Caf au Caire, Shubbak à Londre, Bozzar à Bruxelles, Dancing on the Edge à Amsterdam et Rencontre à l’échelle à Marseille, 2017).Hani dirige aussi des ateliers de réalisation cinématographique et il étais le directeur pédagogique desécoles de cinema Jesuit au Caire et à Alexandrie.

Malgré le déni de leur mère, les trois enfants soupçonnent que leur père a était remplacé de jour au lendemain par unétranger. ‘Le goût des maisons’ est un drame familial qui dépeint les transformations violentes d’une jeunesse fragile à l’age del’adolescence, envers les changements économique et social de leur entourage.