Après des études de journalisme en Tunisie, puis des études de cinéma à Academy of Arts University de San Francisco, Rama Mari a été 1ère assistante, cheffe-opératrice et monteuse avant de réaliser plusieurs courts-métrages, dont son dernier, Izriqaq, qui a été sélectionné dans de nombreux festivals et a gagné le Prix du Jury au Arab Short Film Festival de Beyrouth. Parallèlement, elle enseigne le cinéma au Dar Al Kalima University College of Arts and Culture et à l’A.M. Qattan Foundation. Elle prépare son premier long-métrage cinéma, Geography of solitude.

Une famille voit les liens de ses membres se ressérer au fur et à mesure qu’ils traversent des périodes difficiles.

Meryem Benm’Barek s’est formée au cinéma à l’INSAS de Bruxelles où elle a obtenu son master en réalisation. Paralèllement à d’autres expériences professionnelles, Meryem Benm’Barek a réalisé trois courts-métrages, L’After Shave (2011), Nor (2013) et Jennah (2014), sélectionnés et primés dans de nombreux festivals. Elle développe son projet de long-métrage, Les plaies dorsales.

Malik, un homme de 40 ans vit depuis toujours paralysé par une étrange peur de «disparaître». Il rencontre Krystha, une jeune femme mystique et troublante. Malik semble tétanisé à l’idée de voir ressurgir les fantômes du passé et refuse de s’y confronter. Mais c’est mal connaitre l’obstination de Krystha qui décide de le guérir contre son gré de ses maux en l’entrainant dans un road movie haletant jusqu’au cœur de ses plus profondes angoisses.

Journaliste et romancier, Anis Djaad est né et a grandi à Alger. Il réalise trois courts, Le hublot, Passage à niveau et Le voyage de Keltoum, avec lesquels il participa à plus d’une centaine de festivals internationaux. Son premier long-métrage, La vie d’après, est attendu fin 2021. En plus de Terre de vengeance, il développe actuellement d’autres projets cinématographiques.

Un matin de printemps, une folle rumeur court dans le village au sujet de Hadjer, une veuve qui vit avec son fils, Djamil, un adolescent irréprochable. Jetés en pâture, ils sont forcés à partir. Après quelques jours d’errance, ils échouent sur la côte, chez un bienfaiteur patron de gargote. Leur « exil » vers ce monde nouveau ne sera pas de tout repos. Entre les dérives du fils et les concessions de la mère, le chemin vers la reconstruction semble interminable. Un retour vers le village natal est-il encore envisageable ? Décidément, il n’y a qu’un drame pour effacer un autre…

Diplômé de l’ESRA en réalisation, il réalise plusieurs videoclips ainsi que des courts-métrages de fiction. En parallèle à l’écriture de L’Oliveraie, il développe un Web doc interactif avec Simba productions.

Un matin de printemps, une folle rumeur court dans le village au sujet de Hadjer, une veuve qui vit avec son fils, Djamil, un adolescent irréprochable. Jetés en pâture, ils sont forcés à partir. Après quelques jours d’errance, ils échouent sur la côte, chez un bienfaiteur patron de gargote. Leur « exil » vers ce monde nouveau ne sera pas de tout repos. Entre les dérives du fils et les concessions de la mère, le chemin vers la reconstruction semble interminable. Un retour vers le village natal est-il encore envisageable ? Décidément, il n’y a qu’un drame pour effacer un autre…

Après une Maîtrise d’histoire à l’Université Paris I, La Sorbonne sur « Cinémas et cinéastes algériens de 1962 à 2003 », puis un DEA d’Histoire sur « Cinémas et cinéastes de l’immigration algérienne de 1981 à 2004 », Myriam Chetouane a été co-scénariste sur plusieurs projets de courts ou de documentaires, puis a réalisé le court-métrage Culture d’apparences largement sélectionné et primé en festivals. Elle développe son projet de premier long-métrage cinéma, Parloir fantôme.

L’auteur ne souhaite pas divulguer la teneur de son projet.

Diplômée de La Fémis en 2012, Emma Benestan a occupé diverses fonctions dans le secteur audiovisuel et a travaillé comme monteuse sur divers films. Elle a réalisé plusieurs courts-métrages dont Toucher l’horizon (La Fémis-2011) et Belle gueule (10/15 Productions-2014), primés dans de nombreux festivals. Elle développe son projet de premier long-métrage cinéma, Petite sauvage.

Kenza, quinze ans, part d’Algérie vers la France pour aller vivre auprès de son père Samy qu’elle n’a jamais connu. Elle pense enfin retrouver ce père, ancien footballeur, qu’elle a tant idéalisé. C’est enfin le début d’une nouvelle vie. Un nouveau pays. Mais est-ce vraiment la promesse d’un bonheur ?

Myriam el Hajj a commencé ses études de cinéma à Beyrouth pour les poursuivre à Paris. En 2009, elle a réalisé Off war Beirut, un court-métrage sélectionné dans de nombreux festivals. En 2009, son projet de court-métrage Last call a été sélectionné au lab d’écriture « De l’écrit à l’écran » du Festival de Namur (Belgique). En janvier 2015, elle terminait le montage de son film documentaire cinéma A time to rest/Trêve qui a été sélectionné au festival de Nyan Vision du réél, ainsi qu’au Festival du film documentaire d’Agadir où il a été primé.A côté de ses activités de cinéaste, Myriam el Hajj enseigne le cinéma à l’ALBA de Beyrouth (Académie Libanaise des Beaux-arts).Elle prépare son projet de premier long-métrage cinéma de fiction, Regarde la ville qui brûle.

Suite à l’arrestation de Makram pour trafique d’explosifs, Nour, sa fille de 30 ans, rentre de Paris à Beyrouth.Sa quête pour comprendre ce qui s’est passé avec son père et le libérer commence alors : Nour va devoir se confronter à la corruption des politiciens en premier, à sa famille qui se déchire, et à une ville qu’elle ne reconnait plus.Un voyage à la rencontre du Liban.

Après des études à l’American University of Beirut, La Fémis, l’INSEAD et l’école de théâtre corporel de Jacques Lecoq, Elyssa Skaff a acquis une bonne expérience dans le développement de projets audiovisuels et cinéma.

Dancers of The Spring raconte l’histoire d’une rencontre entre deux êtres. À Beyrouth depuis quelques mois avec deux de ses amis, Amir est un jeune réfugié Syrien qui peine à survivre. Tout change lorsqu’il fait la connaissance d’une jeune Libanaise, Anna. Les jeunes gens s’encouragent mutuellement, et décident de préparer ensemble une audition qui pourrait changer leur réalité dans la ville. À un autre niveau, et de manière totalement inattendue, cette rencontre les affectera de manière beaucoup plus profonde…

Diplômé Ingénieur Civil de l’Université Polytechnique Gaziantep, puis ingénieur civil sur de gros chantiers de construction en Afghanistan et en Irak, Ahmet Necdet Cupur abandonne son domaine de compétence pour se tourner vers le cinéma qu’il vient étudier à Paris. Il réalise des courts-métrages, entre autres : Alley Dancer, Le garçon et la bicyclette (2014).

Un garçon devient un homme dans un village au Moyen-Orient. Un lieu où grandir signifie obéir aveuglément à des règles dures et anciennes. Des vies vont se heurter les unes aux autres ayant une seule racine commune : le père. Générations après générations la violence et le crime d’honneur amèneront femmes et hommes jusqu’à l’insupportable. Tout cela pourra-t-il enfin s’arrêter avec Raken?

Jaad Gaillet est un réalisateur franco-marocain qui a grandi à Paris. Il a combiné ses études de génie mécanique à l’Université Pierre et Marie Curie avec des études d’anthropologie au MNHN et au Cinéma du Réel à Paris. Après ses études au Cinéma du Réel à Nanterre et Naples, il a été sélectionné pour l’atelier de Web documentaire à la Gaîté Lyrique à Paris. Plus tard, il a obtenu un Master en Cinéma à l’Esav de Toulouse. Suite à ses études, il a réalisé de nombreux films documentaires courts mais aussi long. Il travaille actuellement sur un projet de long métrage fiction “Points noirs”.

Leyla, journaliste franco-marocaine de trente ans se rend dans le Haut-Atlas pour un projet documentaire sur les chasseurs de sangliers. La jeune journaliste doit alors faire face à la disparition de tous les sangliers abattus, évènements dont elle et sa caméra sont les seuls témoins.