Jeune cinéaste tunisienne passionnée d’art depuis son plus jeune âge. Elle quitte la Tunisie en 2005 pour poursuivre des études supérieures de cinéma à Paris. Elle finit une thèse de doctorat à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne sur la question de l’identité dans le cinéma tunisien. Dans le même temps, elle a réalisé le court métrage Nice people et le documentaire Techniques du massage oriental.Dans la suite de sa participation à Meditalents en 2012, elle a réalisé son premier court-métrage professionnel La Brouette qu’elle y a développé, préquel de son projet de long-métrage Lina. Le film a été sélectionné et primé dans plusieurs festivals.Depuis lors, elle a travaillé en tant que script et assistante sur des films en Tunisie, au Maroc, en France et à Hong Kong. Elle a vécu à Hong Kong où elle a travaillé en tant que scénariste et script dans le film A Typhoon Is Coming de Emilie Guillot. Elle prépare actuellement son nouveau court-métrage.

Vivant dans la pauvreté et responsable précoce de famille, Amine, un enfant de 8 ans, fait tout pour offrir un cadeau à son père avant qu’il ne meure. C’est un drame qui mêle cruauté du destin et innocence poignante de l’enfance.

Natif d’Algérie (Médéa, 1978), influencé par sa mère cinéphile, il entame après ses études une formation de réalisateur sur internet chez Cinecours.com. En septembre 2010, il participe au concours d’écriture de scénario organisé par Thala Films Production dans le cadre du projet Alger Demain, les films. Il écrit Un jour à Alger qui sera sélectionné au Festival Cinemed de Montpellier (2011).Il intègre alors Meditalents pour y développer son projet de long-métrage Un meurtre à la Une, ainsi que son court-métrage Cet homme, qui est-il ? .Après Meditalents, il réalise et produit le documentaire Al Arbun pour le CNRPAH. Puis il rejoint le collectif québécois « El Djazair mon amour » et produit une série de courts-métrages en coproduction avec Kinomada qui lui permet par la suite de réaliser son deuxième court-métrage Cet homme, qui est-il ? développé à Meditalents, dans le cadre du laboratoire de création de court-métrage Kinomada Québec 2014.Actuellement producteur, il a à son actif la production exécutive et la réalisation de documentaires, spots publicitaires ainsi que des clips et capsules web pour le compte de grands clients. Il enseigne les techniques de l’audiovisuel depuis 2015 au Centre National de Recherches Préhistoriques, Anthropologiques et Historiques (CNRPAH).

Said est un journaliste et chroniqueur fétiche d’un journal algérien, échappé miraculeusement d’un attentat terroriste.Réfugié dans un petit studio où initialement son séjour ne devait pas dépasser les 5 jours, le temps que son directeur et meilleur ami, Farid, lui fasse le visa avec sa famille pour la France. Mais vu ses problèmes avec la justice (censure) il voit son séjour s’allonger.Said ne communique avec le monde extérieur que grâce à deux moyens, son téléphone fax avec lequel il envoie ses chroniques à son journal, et un livreur, Kamel, qu’il ne rencontre pas.Un jour pour la première fois depuis plus de 40 jours, il reçoit un coup de téléphone ; les appels se répètent… On l’a retrouvé…Said décide de ne plus se cacher et sort….

Né en 1976 à Jijel, Karim Moussaoui vit à Alger, où il est programmateur à l’Institut Français. Il est l’un des membres fondateurs de Chrysalide, association culturelle algéroise crée en 2000 et qui contribue à promouvoir le cinéma. Après avoir assisté au tournage de Viva l’Algérie, de Nadir Moknech, il réalise son premier court-métrage autoproduit en 2006 : Ce qu’on doit faire, inspiré cette fois de la nouvelle de Charles Bukowsky : Lune froide. En 2008; il est premier assistant réalisateur d’Inland, de Tariq Teguia.En 2011, son scénario de long métrage, En attendant les hirondelles est sélectionné à l’atelier d’écriture Meditalents. Il y rencontre Virginie Legeay, avec qui il écrit le moyen métrage Les jours d’avant, préquel de En attendant les hirondelles.Depuis lors, il a continué le développement de En attendant les hirondelles à Sud Ecriture puis à la Cinefondation. Le film a été produit par Les Films Pelléas (David Thion et Philippe Martin) et sélectionné à Un certain regard, Cannes 2017.

Dans une cité du sud d’Alger, au milieu des années 90. Djaber et Yamina sont voisins mais ne se connaissent pas. Pour l’un comme pour l’autre, il est si difficile de se rencontrer entre filles et garçons qu’ils ont presque cessé d’y rêver. En quelques jours pourtant, ce qui n’était jusque là qu’une violence sourde et lointaine éclate devant eux, modifiant à jamais leurs destins.

Après des études en Communication Politique et Sociale, en Sciences Politiques et en Médiation culturelle, Ilham Halib est consultante en Communication. Elle travaille à « créer et raconter des histoires qui touchent pour ses partenaires ».

Dialogue entre plusieurs cultures qui se retrouvent en conversation dans le temps et entre générations.

Diplômé de l’ESAV en 2009 avec son court-métrage Certains pieds ne peuvent pas danser, Hicham Elladdaqi a monté plusieurs films de fiction, documentaires et reportages avant d’intégrer Meditalents.Il y a concomitamment développé son projet de long-métrage Le cri, ainsi que son court-métrage La troisième main, préquel du Cri.

Adil est un jeune solitaire conducteur de camionnette, passe son temps à livrer des commandes aux gens, résiste contre une grave maladie, et tente d’avouer son amour à Zineb, une jeune ouvrière dans une usine de tapis.Un jour, il décide d’abandonner tout, et quitte la ville pour aller vivre le reste de sa vie au bord d’un lac.

Né à Rabat, Maroc, Alaa étudie le cinéma à l’ESAV Marrakech et rejoint par la suite l’INSAS à Bruxelles en master réalisation, production et scénario.Pendant ce parcours, il a réalisé plusieurs courts métrages de fiction et/ou documentaires, dont La maison des rumeurs (2008), Education nationale (2009), Un dernier hommage (2011).Il a intégré Meditalents 2012 pour y développer son court-métrage Les poissons du déserts qui a participé à plusieurs festivals dans le monde et a remporté le grand prix, le prix de la critique et le prix du scénario au festival du film national.Depuis lors, son scénario de premier long-métrage Le Miracle du Saint Inconnu a été primé au 68ème Festival du film de Locarno, sélectionné à la Fabrique des cinémas du monde à Cannes et au Sundance Screenwriters Lab.En décembre 2016, Alaa a été désigné comme un des cinq Arab Stars of Tomorrow par le Magazine Screen International, la cérémonie a eu lieu au Dubai Film Festival.En 2017, il a été sélectionné comme un des Global Media Makers par Film Independent à Los Angeles programme auquel il n’a pu se rendre finalement.Entre 2012 et 2017, il a produit plusieurs documentaires et fictions et a travaillé comme line producer sur plusieurs projets internationaux dont récemment The Stand in de Ra Di Martino avec Valeria Golino et Filippo Timmi qui a eu sa première à la Mostra de Venise 2018

Un petit garçon de huit ans emménage aux portes du désert avec ses parents.Ce dernier ne rêve que de la mer et de devenir pêcheur comme son oncle. A la mort de sa mère il décide de partir réaliser son rêve.

Diplômé de l’Institut Spécialisé en Cinéma et l’Audiovisuel (ISCA), il obtient ensuite une licence puis un master en études cinématographiques (major de sa promotion) à l’Université AbdelMalek Essaadi à Tétouan.Durant son parcours, il réalise plusieurs courts-métrages primés dans plusieurs festivals nationaux : Good Morning Honey, mention spéciale en 2011 au Festival de court-métrage de Rabat, Profession Reporter, prix de jury au Festival de court-métrage de Rabat, 2012, Madani, premier prix au festival ciné-jeune talents de Tanger en 2009.Son film documentaire Terminus (70’min) est sélectionné en 2015 au Festival International de Documentaire d’Agadir (Fidadoc), avant d’être projeté aux Rencontres Cinématographiques Maghreb des Films à Paris en novembre 2016.Fin 2015, il crée BINGO FILMS dans le but de se consacrer à la création cinématographique et l’accompagnement des jeunes talents : il produit alors le court-métrage Occupation réalisé par Nasser Benabderahman, puis son propre moyen-métrage de fiction Sweeter Than Honey, actuellement en post-production.

Rachid Chifouni, surnommé Ammi Lhaj est un cynique vieillard qui déteste les gens. Un jour, il doit revenir malgré lui dans la ville où il vécut longtemps auparavant. Il va devoir y côtoyer trois jeunes amis dans une quête au trésor. En vivant leurs paradoxes, leurs joies et malheurs, AMMI LHAJ va se métamorphoser et perdre progressivement sa haine de l’autre.