Myriam

El Hajj

Myriam el Hajj a commencé ses études de cinéma à Beyrouth pour les poursuivre à Paris. En 2009, elle a réalisé Off war Beirut, un court-métrage sélectionné dans de nombreux festivals. En 2009, son projet de court-métrage Last call a été sélectionné au lab d’écriture « De l’écrit à l’écran » du Festival de Namur (Belgique). En janvier 2015, elle terminait le montage de son film documentaire cinéma A time to rest/Trêve qui a été sélectionné au festival de Nyan Vision du réél, ainsi qu’au Festival du film documentaire d’Agadir où il a été primé.A côté de ses activités de cinéaste, Myriam el Hajj enseigne le cinéma à l’ALBA de Beyrouth (Académie Libanaise des Beaux-arts).Elle prépare son projet de premier long-métrage cinéma de fiction, Regarde la ville qui brûle.

Myriam

El Hajj

Myriam el Hajj a commencé ses études de cinéma à Beyrouth pour les poursuivre à Paris. En 2009, elle a réalisé Off war Beirut, un court-métrage sélectionné dans de nombreux festivals. En 2009, son projet de court-métrage Last call a été sélectionné au lab d’écriture « De l’écrit à l’écran » du Festival de Namur (Belgique). En janvier 2015, elle terminait le montage de son film documentaire cinéma A time to rest/Trêve qui a été sélectionné au festival de Nyan Vision du réél, ainsi qu’au Festival du film documentaire d’Agadir où il a été primé.A côté de ses activités de cinéaste, Myriam el Hajj enseigne le cinéma à l’ALBA de Beyrouth (Académie Libanaise des Beaux-arts).Elle prépare son projet de premier long-métrage cinéma de fiction, Regarde la ville qui brûle.

Regarde la ville qui brûle

Suite à l’arrestation de Makram pour trafique d’explosifs, Nour, sa fille de 30 ans, rentre de Paris à Beyrouth.Sa quête pour comprendre ce qui s’est passé avec son père et le libérer commence alors : Nour va devoir se confronter à la corruption des politiciens en premier, à sa famille qui se déchire, et à une ville qu’elle ne reconnait plus.Un voyage à la rencontre du Liban.

Découvrir