Assia

Tamerdjent

Assia Tamerdjent est une jeune réalisatrice née à Relizane, en Algérie. Suite à des études d’architecture à Alger puis en sciences sociales à la Sorbonne Nouvelle à Paris, où elle mène un projet de mémoire sur l’importation de la musique raï en France d’un point de vue postcolonial, sous la direction de Gérôme Guibert, sociologue spécialiste des musiques populaires, elle poursuit de nouvelles études en management culturel et intègre l’équipe du Regard du Cygne, un théâtre de danse contemporaine. Après une première expérience en tant que rédactrice pour Dunes Magazine, passionnée par le cinéma, Assia filme l’ambiance des projections des matchs de la coupe d’Afrique des nations dans les espaces publiques à Alger. C’est ainsi qu’elle décide de se saisir de l’outil filmique pour documenter les réalités sociales de son pays.Hana, l’Algérie et moi est son premier film.

Assia

Tamerdjent

Assia Tamerdjent est une jeune réalisatrice née à Relizane, en Algérie. Suite à des études d’architecture à Alger puis en sciences sociales à la Sorbonne Nouvelle à Paris, où elle mène un projet de mémoire sur l’importation de la musique raï en France d’un point de vue postcolonial, sous la direction de Gérôme Guibert, sociologue spécialiste des musiques populaires, elle poursuit de nouvelles études en management culturel et intègre l’équipe du Regard du Cygne, un théâtre de danse contemporaine. Après une première expérience en tant que rédactrice pour Dunes Magazine, passionnée par le cinéma, Assia filme l’ambiance des projections des matchs de la coupe d’Afrique des nations dans les espaces publiques à Alger. C’est ainsi qu’elle décide de se saisir de l’outil filmique pour documenter les réalités sociales de son pays.Hana, l’Algérie et moi est son premier film.

Hana, l'Algérie et moi

Hana, ma sœur ainée, vit seule à Alger. Nos chemins se sont séparés en 2016, lorsque je fis le choix de l’immigration à Paris. Entre gardes à l’hôpital et soirées techno dans les faubourgs de sa ville, Hana emprunte un chemin qui lui est socialement interdit, celui de la nuit. Je décide de prendre ma caméra et de rentrer chez moi, afin de documenter les luttes quotidiennes de ma soeur, jeune femme contemporaine dans l’Algérie post-hirak. Ce film est aussi le récit d’une réconciliation compliquée entre deux sœurs que l’Algérie a mis au monde, et que l’Algérie a séparé.

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